Avec les affaires Moha La Squale et Roméo Elvis, la lumière est désormais braquée sur une omerta palpable.
Depuis quelques mois, plusieurs témoignages de victimes présumées de violences sexistes et sexuelles gravitant autour de rappeurs français ont surgi pour briser l'omerta, sur les réseaux sociaux, puis dans les médias. Deux affaires en particulier ont fini par mettre en lumière une parole longtemps muselée.
Une affaire concernant Moha La Squale tout d'abord, contre qui trois jeunes femmes, rejointes le 11 septembre par une quatrième ont porté plainte pour des faits de «violences», «séquestration» et «agression sexuelle», provoquant l'ouverture d'une enquête par le parquet de Paris.
Une autre concernant Roméo Elvis, qui aurait, selon le témoignage d'une fan donné à StreetPress été l'auteur d'agressions sexuelles. Le premier n'a pour le moment pas réagi (même s'il a repoussé la sortie de son nouvel album initialement prévue pour le 18 septembre), le second a reconnu publiquement les faits.
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